Deux mois après la sortie du tome 2, les lectures continuent et les avis aussi:
"il ne fait aucun doute que Gwenaël est parvenu
avec un certain brio au terme d’une équipée post-guerrière pluriethnique
qui trahit un véritable effort de recherche dans son fondement, dans sa
structuration et aussi dans le choix des dialogues. Se faisant fort de
l’évoquer sous deux angles différents, il fait en sorte de les fusionner
pour en dévoiler les tenants et les aboutissants, et ce dans des
ambiances assez subtiles de mensonges et de manipulation.
Le travail graphique d’Elisa Ferrari
reste d’une qualité profitable. Cette dernière nous offre un trait
efficace pour cet univers médiéval onirique, pour le moins soigné dans
les décors et les personnages, qui démontre une réelle rigueur
artistique.
Il a le privilège d’être relevé par la colorisation chaude
réalisée par Axel Gonzalbo.
Une fin d’aventure somme toute bien inspirée !"