On peut considérer le peuple Aquilin comme le frère jumeau et turbulent des Onarques, partageant la même vision d'un état fédérateur.
Une
raison pour laquelle les Fiefs
Aquilins sont devenus
une province du Vaste Pays.
Mais la place faite aux élites
Aquilines ne fût jamais à la hauteur des attentes, la bourgeoisie
et la noblesse Onarque se réservant (plus par habitude culturelle
que par volonté de discrimination) les charges clés au sein de
l'administration, du commerce ou de l'armée des cinq provinces.
Lentement, le ressentiment des Aquilins
a pris racine, devenant les braises de l'incendie à venir.
Ils saisirent la première occasion pour s'affranchir de la tutelle Onarque : le meurtre de l'héritier. Menant avec eux les Lithis, ils embrasèrent le Vaste Pays.
Ils saisirent la première occasion pour s'affranchir de la tutelle Onarque : le meurtre de l'héritier. Menant avec eux les Lithis, ils embrasèrent le Vaste Pays.
Religion du peuple Aquilin
La principale croyance des Aquilins est axée autour du culte d'une bête ancestrale : l'Uroch, le taureau des origines.
Né d'un rocher dont il a brisé la carapace qui le retenait prisonnier, l'Uroch s'est répandu sur le monde.
Des marques de ses
sabots, les fleuves et les mers ont pris source, de ses coups de
cornes, les montagnes surgirent.
Mais cette énergie
féconde réveilla d'antiques chasseurs, des créatures de ténèbres
déterminées à détruire l’œuvre du dieu cornu.
Le
combat qui s'ensuivit fût celui du commencement ou de la fin des
temps, l'Uroch
vainquit ses ennemis, mais au prix de son existence.
La bête s'offrit
en sacrifice, son sang fertilisa la terre et fut à l'origine de
toute vie.